Archives pour la catégorie Nouvelle Zélande

Whangaroa

La période hivernale est enfin terminée, CAT’LEYA reprend sa route vers la « Bay of Islands » et plus au Nord vers Whangaroa, un bout de Norvège en Nouvelle-Zélande.

Avec une légère brise de Sud, nous remontons vers les îles Cavalli, quelques rares bateaux y sont au mouillage, c’est l’occasion de faire la magnifique randonnée qui traverse l’île. Le lendemain première plongée de la saison puis nous mouillons dans la baie de Mahinepuha au Sud de l’entrée dans Whangaroa harbour.

L’occasion de faire voler le drône pour créer ce panorama.

Une belle brise de Nord-Est nous propulse gentiment autour de la presqu’île vers l’entrée de Whangaroa harbour, le fjord se découpe en plusieurs baies protégées… Nous mouillons dans la première baie en entrant à tribord. Le site est magnifique.

Samedi, j’ai rendez-vous avec un ami du club de voilier radio-commandé, nous rejoignons donc le village et profitons de la matinée pour « escalader » le roc St Paul.

La météo sera très pluvieuse le Dimanche, pas question  de sortir du bateau, le vent de Nord Ouest est toujours fort, et le paysage se fond dans un brouillard épais où l’on distingue à peine la surface de l’eau… L’accalmie est prévue pour Lundi 13h avec le retour du soleil et un bon vent de Nord-Ouest qui va nous propulser vers la Bay of Islands.

CAT’LEYA nous gratifie d’une belle moyenne avec des pointes à plus de 10 Noeuds, la coque va être propre !

Nous nous arrêtons dans l' »inlet » qui mène à KeriKeri, précisément à Whale Bay dans un mouillage protégé du vent de nord.

 

 

 

Whangaruru

 

Ce week-end, nous prenons la route vers Whangaruru et Helena Bay au Sud-Ouest de la « Bay of islands ».

Près d’Helena Bay se trouve le « Mimiwhangata Conservation Park » et une petite randonnée qui suit la côte de la presqu’île. Quelques moutons, des mares et des vaches donnent un peu de couleur à ces prairies vallonnées.

Plus au Nord, Whangaruru est un refuge naturel fort apprécié par les voiliers. Comme toujours, de nombreux oiseaux, les noirs sont des « oyster catchers », ils se nourrissent surtout de coquillages… 

La presqu’île ne tient à la terre que par un fil comme  nous pourrons le constater du haut de Whangaruru heads. 

Une belle boucle ici encore nous mènera à l’extrémité des « Heads »

 

Kauri coast – Nouvelle Zélande

La « Kauri coast » doit son nom à ses immenses arbres que l’on trouve dans la forêt Waipoua, l’inspiration de « l’arbre maison » d’Avatar…

Les Kauri jouent un rôle essentiel dans la culture Maori. Au commencement du monde, Tāne et ses frères et sœurs vivaient dans l’obscurité entre leurs parents accouplés, Ranginui (le père du ciel) et Papatūānuku (la mère de la terre). Tāne et ses frères et sœurs ont séparé leurs parents, créant la lumière et la vie pour exister et prospérer. Ainsi commença le temps, le monde de la lumière, et le titre de Tāne Mahuta, dieu de la forêt et de tous ses êtres vivants. Telle est la nature de la vie et la position et le rôle du Kauri en tant que plus grand rangatira de nos forêts. Kauri est connu des Maoris sous le nom de Te Whakaruruhau – le grand protecteur de la forêt – en référence aux nombreuses espèces qui s’abritent dans les branches de Kauri. Les Te Roroa de Waipoua considèrent les jambes de Tāne comme des Kauris géants, comme beaucoup d’autres Iwi. De nombreux grands arbres Kauri ont reçu des noms et vénérés en tant que chefs de la forêt. Les Maoris relient également l’arbre Kauri aux tohora (baleines). Selon maori whakapapa (généalogie), les Kauris et les tohora sont frères. On pense que Tᾱne (Dieu de la forêt) a offert la baleine à Tangaroa (Dieu de la mer), c’est ainsi que les Kauris ont leurs «écailles» uniques comme écorce. Les anciens maoris lient maintenant souvent l’échouage des baleines aux luttes de l’arbre Kauri vulnérable à la maladie mortelle de dépérissement.

Au 19ème siècle, les Européens ont mis le pied pour la première fois parmi les Kauris géants et les forêts ont rapidement été exploitées pour leur bois durable. Les jeunes Kauris (connus sous le nom de rickers) étaient abattus par milliers pour fournir des mâts et des espars aux navires. Depuis 1952, une politique de protection a été mise en œuvre par les gouvernements pour protéger la forêt de Waipoua et s’attaquer à la maladie de dépérissement qui touche les Kauris encore vivants

En remontant plus au Nord, Opononi se lotit sur un imposant estuaire de la côte Ouest.

C’est là que l’on trouve les plus beaux « bowlers », rochers sphériques presque parfaits.

Le printemps vient et les Manuka et autres Kanuka sont en fleurs. Le miel de Manuka est très recherché car il aurait des qualités exceptionnelles, le kanuka lui ressemble mais ses fleurts sont groupées et son miel est également renommé.

De retour à Opua, nous faisosn une halte près d’une petite église créée par la mission de Marsden.

 

Le Cap REINGA, le bout du monde de la Nouvelle-Zélande

 Alors que La région d’Auckland est toujours en confinement suite aux cas de Covid 19, CAT’LEYA se prélasse dans la marina de la Bay of islands à Opua et nous en profitons pour visiter le Nord de la Nouvelle-Zélande.

Le printemps arrive et le soleil est là durant ce magnifique week-end.

Depuis la marina d’Opua, le drône me permet de réaliser quelques belles photos aériennes de la Bay of Islands.

A Paihia une petite ballade sur les crêtes offre de belles vues sur l’entrée de la marina d’Opua.

Plus au Nord près de Keri-Keri, sur la péninsule de Purerua, le site de Rangihoua où s’est établie la première colonie d’européens nous offre une jolie randonnée jusqu’à la Marsden Cross.

Cap Reinga est distant d’environ 200 km d’Opua, la côte que j’ai déjà explorée en bateau jusqu’au cap Kari-Kari offre de belles baies, dont Matauri Bay juste en face des Cavalli Islands.

Cable bay, lieu de villégiature des néo-zélandais, mais plus on se rapproche du cap le plus au Nord de la Nouvelle-Zélande, plus les paysages deviennent sauvages et magnifiques…

Il n’y a pas si longtemps,la route qui menait au Nord n’était qu’un chemin de terre (comme souvent en Nouvelle-Zélande, aucune indication particulière mais votre GPS vous envoie sans préavis sur un chemin de terre et de gravier…).

Je profite de cette ballade pour explorer la côte et les refuges possibles pour CAT’LEYA en prévision du Tour de l’île du Sud prévu pour cet été… Après Monganui Harbour, Ranganu Harbour et Houhara Harbour, Parengarenga Harbour est le dernier refuge accessible en bateau dans des conditions calmes malgré une barre à l’entrée si la houle n’est pas trop forte.

Le Cap Reinga, c’est le bout du monde ici et la convergence de la Mer de Tasman (qui sépare l’Australie de la Nouvelle-Zélande) et l’Océan Pacifique. Aujourd’hui le vent est quasiment absent et il est rare de voir la surface de l’eau aussi plate mais il y a du courant et l’on peut apercevoir la limite des eaux qui convergent et des couleurs qui se fondent.

Le « Colombian bank » mérite bien sa renommée, c’est le seul endroit aujourd’hui où les vagues viennent se briser en écume…

Au loin au large, plus au Nord à une trentaine de miles, on peut apercevoir les « 3 Kings Islands ».

Nous redescendons par la côte Ouest exposée à la houle du large qui vient mourir en déversant ses vagues puissantes et rugissantes, la dune Te Paki me rappelle celle du Pila…

Et voici la vidéo du week-end.

Sur la route de Roturoa

En descendant au sud d’Auckland, à mi-chemin vers Roturoa, Hamilton et ses jardins botaniques représentant des jardins typiques de différents continents.

Roturoa est un ville touristique réputée grâce à son activité  volcanique,  piscines de boue bouillonnante et geysers. C’est également un des plus importants centres de la culture Maori. Le village Maori regroupe notamment de nombreux Marae aux porches en bois sculpté.

 

A la découverte d’Auckland et ses environs

CAT’LEYA est mouillée en entrée de la baie face à Devon Port, à proximité de Orakei marina. De là une piste de cyclable mène directement au centre ville en 10′ avec mon « unicycle » électrique.

Comme beaucoup de capitales du nouveau monde, Auckland possède sa « skytower »…

Le centre ville présente de nombreux immeubles d’affaire, mais quasiment plus de bâtiments anciens… Au loin Rangitoto, l’un des volcans de Hauraki Gulf, côtoie de nombreuses îles, paradis des voileux et des pêcheurs qui s’y rendent an « pélerinage » hebdomadaire les week-ends.

Auckland est entouré de nombreux parcs régionaux, au Nord, le parc Shakespear sur la presqu’île de Whangaparoa, de vertes prairies ou paissent les fameux moutons néo-zélandais.

Au Sud-Ouest, le parc Waikatere offre de belles randonnées menant à de nombreuses cascades et une ballade sur la côte Ouest au sommet des falaises dominant les immenses plages de sables noir et Piha, paradis des surfeurs.

Et pour terminer, un petit retour dans la Bay of Islands, au cap Brett exactement avec cette vidéo du drône.

 

America’s Cup : Christmas Race

Comment ne pas évoquer l’America’s Cup qui se déroulera en Mars à Auckland… Une partie de la métropole est encore en chantier mais les concurrents naviguent déjà sur ces monocoques volant, et, cocorico, les architectes et ingénieurs français y sont pour beaucoup (même s’il n’y a malheureusement aucune représentation française…).

Le Defender, Team Emirates New Zeland et 3 prétendants ont régaté pendant quelques jours avant Noël en préparation des éliminatoires et de la Prada Cup.

L’intérêt d’être ici c’est d’aller voir les bases des équipes  et assister à la préparation, au mâtage et à la mise à l’eau de chacun des bateaux les jours de courses. C’est aussi l’occasion avec un peu de chance d’échanger quelques mots avec les ingénieurs.

Sur l’eau, ça va très vite, les demi-tours sont impressionnants ! Et ça va même trop vite, bien mouillé en limite de zone, le passage ne dure que quelques secondes…

J’y étais !

 

Les îles Cavallis site de l’épave du Rainbow Warrior transformé en sanctuaire marin

A l’approche de Noël et des fêtes de fin d’année, une longue procession de bateaux quittent Auckland et ses environs pour la « Bay of islands », rassurez-vous ce n’est pas les Baléares en plein mois d’Août…

Plus au Nord, les « Cavallis islands », d’habitude moins fréquentées, offrent des eaux beaucoup plus claires et donc une visibilité bien meilleure, et c’est ici qu’a été coulée l’épave du Rainbow Warrior, page difficile dans l’histoire des relations franco-néo-zélandaises…

Un chemin, toujours aussi bien entretenu, mène sur l’autre versant de la colline dominant le mouillage principal. De là, vue sur le site où a été coulé le Rainbow Warrior.

La pêche sous-marine, langoustes et poissons, est toujours aussi fructueuse malgré l’afflux des « boaties »… Avec Thierry de Nemo Sumo, nous allons plonger sur l’épave entre 15 et 23m.  L’accès aux cales est assez aisé et sans danger, la visibilité est correcte et nous dérangerons un très beau Snapper…

Enfin, une vidéo des îles :

Les Fidji… et après, la Nouvelle-Zélande une destination à part entière !

La mi-octobre approche, et je n’ai pas de plan pour la suite, Covid oblige… La saison des cyclone approche pourtant… j’ai bien discuté avec des voileux qui ont passé la dernière saison ici et ont du se mettre à l’abri dans les mangrove de Denarau, cela s’est bien passé pour eux… Il est vrai que le cyclone est passé assez loin des côtes, mais je me vois mal préparer le bateau tout seul en cap d’alerte… En plus j’ai relu mon contrat d’assurance et il est écrit que « la bôme doit être démontée ainsi que tous les appareils électroniques, les voiles, le gréement courant… ». Après interrogation de mon courtier, il me confirme qu’en cas de problème si ce n’est pas fait ce sera sujet à discussion !

Pour entrer en Nouvelle-Zélande, il faut obtenir une exemption, manifestement personne n’a encore obtenu d’accord sauf les résidents qui retournent chez eux, certains parlent d’un montant minimum de réparations qu’il faudrait s’engager à réaliser…

La Nouvelle-Calédonie me confirme qu’en tant que français, j’ai bien le droit d’entrer sur le territoire et d’y rester, sauf que c’est une année « El Nina » et 2 fois plus de cyclones sont attendus cette année… peu d’abri là-bas manifestement même si Thierry, mon ami de NZ d’origine néo-calédonienne me prêterait son emplacement (après d’avoir déjà « hébergé » l’an dernier à Marsden Cove !)

L’Indonésie vient d’ouvrir, ce serait une option mais c’est loin et la saison est trop avancée pour passer par le détroit de Torres entre le Nord de l’Australie et la Papouasie Nouvelle Guinée.

Finalement je décide de monter un dossier pour obtenir le sésame et rentrer en Nouvelle -Zélande.

Mes amis néo-zélandais obtiennent petit à petit leur ticket retour, les uns après les autres… Aucun étranger par contre n’est autorisé à rentrer, les élections approchent, ce n’est pas la bonne période.

Et puis, tout début Novembre, le miracle se produit, je reçois l’accord du ministère de la santé, mais ce n’est pas gagné pour autant, il faut maintenant convaincre le Ministère des Affaires et de économie… Mon enthousiasme retombe d’un cran. Mais en fin de compte, tout est au vert… Il n’y a plus qu’à attendre un bon créneau météo. A l’arrivée quarantaine de 14 jours moins le nombre de jours en  mer !  certains décident de rester en mer 12 jours, le séjour en quarantaine étant soi-disant facturé 3000 $NZ !

Ce n’est pas mon option, le passage entre Fidji et NZ est une traversée sérieuse où les coups de vent et la mer ne font pas de cadeau… Une dépression légère arrive, la vitesse du bateau devrait me permettre de rester devant le front. C’est ainsi que je naviguerais 3 jours avec des moyennes élevées (supérieures à 240 miles…) jusqu’à me retrouver dans la pétole et de finir au moteur… In fine 6 jours ce n’est pas mal, pas de bobo au bateau, et me voici revenu à Opua ! Direction l’hôtel de quarantaine à Auckland… Navette privée, 7 jours à l’hôtel, nourriture détestable mais tout est très bien organisé !

Cette année, je vais enfin prendre le temps de découvrir la Nouvelle Zélande !

La mi-octobre approche, et je n’ai pas de plan pour la suite, Covid oblige… La saison des cyclone approche pourtant… j’ai bien discuté avec des voileux qui ont passé la dernière saison ici et ont du se mettre à l’abri dans les mangrove de Denarau, cela s’est bien passé pour eux… Il est vrai que le cyclone est passé assez loin des côtes, mais je me vois mal préparer le bateau tout seul en cap d’alerte… En plus j’ai relu mon contrat d’assurance et il est écrit que « la bôme doit être démontée ainsi que tous les appareils électroniques, les voiles le grément courant… ». Après interrogation de mon courtier, il me confirme qu’en cas de problème si ce n’est pas fait ce sera sujet à discussion !

Pour entrer en Nouvelle-Zélande, il faut obtenir une exemption, manifestement personne n’a encore obtenu d’accord sauf les résidents qui retournent chez eux, certains parlent d’un montant minimum de réparations qu’il faudrait s’engager à réaliser…

La Nouvelle-Calédonie me confirme qu’en tant que français, j’ai bien le droit d’entrer sur le territoire et d’y rester, sauf que c’est une année « El Nina » et 2 fois plus de cyclones sont attendus cette année… peu d’abri là-bas manifestement même si Thierry, mon ami de NZ d’origine néo-calédonienne me prêterait son emplacement (après d’avoir déjà « hébergé » l’an dernier à Marsden Cove !)

L’Indonésie vient d’ouvrir, ce serait une option mais c’est loin et la saison est trop avancée pour passer par le détroit de Torres entre le Nord de l’Australie et la Papouasie Nouvelle Guinée.

Finalement je décide de monter un dossier pour obtenir le sésame et rentrer en Nouvelle -Zélande.

Mes amis néo-zélandais obtiennent petit à petit leur ticket retour, les uns après les autres… Aucun étranger par contre n’est autorisé à rentrer, les élections approchent, ce n’est pas la bonne période.

Et puis, tout début Novembre, le miracle se produit, je reçois l’accord du ministère de la santé, mais ce n’est pas gagné pour autant, il faut maintenant convaincre le Ministère des Affaires et de l’Economie… Mon enthousiasme retombe d’un cran. Mais en fin de compte, tout est au vert… Il n’y a plus qu’à attendre un bon créneau météo. A l’arrivée quarantaine de 14 jours moins le nombre de jours en  mer !  certains décident de rester en mer 12 jours, le séjour en quarantaine étant soi-disant facturé 3000 $NZ !

Ce n’est pas mon option, le passage entre Fidji et NZ est une traversée sérieuse où les coups de vent et la mer ne font pas de cadeau… Une dépression légère arrive, la vitesse du bateau devrait me permettre de rester devant le front. C’est ainsi que je naviguerais 3 jours avec des moyennes élevées (supérieures à 240 miles…) jusqu’à me retrouver dans la pétole et de finir au moteur… In fine 6 jours ce n’est pas mal, pas de bobo au bateau, et me voici revenu à Opua ! Direction l’hôtel de quarantaine à Auckland… Navette privée, 7 jours à l’hôtel, nourriture détestable mais tout est très bien organisé !

Cette année, je vais enfin prendre le temps de découvrir la Nouvelle Zélande !

C’est le printemps, ici, la météo se réchauffe, direction les îles du Sud !

Thierry et sa femme, Laury Mai, me proposent de naviguer de concert, un cata à moteur, Nemo Sumo, et un à voile, Cat’leya…

Rdv à « Great Barrier Island » au Nord-Est d’Auckland et de la péninsule de Coromandel, puis les « Mercury Islands » un peu plus au Sud, parties de pêche à la langouste et aux coquilles Saint-Jacques  en  prévision…. Et oui, en Nouvele-Zélande, on a le droit le pêcher en plongée bouteille, seules les quantités et les tailles sont restreintes !

Une dizaine d’heures de navigation depuis Whangarei, où j’ai fait les appros, et me voici à Great Barrier Island. Atterrissage à Port Abercombie, dans Nagle Cove puis Rahoara Bay et Kiwiriki Bay C’est une île sauvage que les maoris natifs protègent et souhaitent conserver ainsi. De beaux mouillages sur les 2 côtés Est et Ouest permettent de se protéger de tous les vents, belles balades au programme sur des chemins bien entretenus et souvent ombragés. L’eau par contre est froide 18°C… les baignades, pas pour moi !

Après quelques jours nous descendons sur les Mercury islands, île privée mais où les « boaties » sont bien accueillis et autorisés à parcourir les sentiers.

Coralie Bay est superbe, entourée par des falaises blanches, des prairies rasées de près et une magnifique forêt de pins.

Nos 2 plongées langoustes seront fructueuses, un vrai régal, reste à trouver des coquilles Saint-Jacques…