Kauri coast – Nouvelle Zélande

La « Kauri coast » doit son nom à ses immenses arbres que l’on trouve dans la forêt Waipoua, l’inspiration de « l’arbre maison » d’Avatar…

Les Kauri jouent un rôle essentiel dans la culture Maori. Au commencement du monde, Tāne et ses frères et sœurs vivaient dans l’obscurité entre leurs parents accouplés, Ranginui (le père du ciel) et Papatūānuku (la mère de la terre). Tāne et ses frères et sœurs ont séparé leurs parents, créant la lumière et la vie pour exister et prospérer. Ainsi commença le temps, le monde de la lumière, et le titre de Tāne Mahuta, dieu de la forêt et de tous ses êtres vivants. Telle est la nature de la vie et la position et le rôle du Kauri en tant que plus grand rangatira de nos forêts. Kauri est connu des Maoris sous le nom de Te Whakaruruhau – le grand protecteur de la forêt – en référence aux nombreuses espèces qui s’abritent dans les branches de Kauri. Les Te Roroa de Waipoua considèrent les jambes de Tāne comme des Kauris géants, comme beaucoup d’autres Iwi. De nombreux grands arbres Kauri ont reçu des noms et vénérés en tant que chefs de la forêt. Les Maoris relient également l’arbre Kauri aux tohora (baleines). Selon maori whakapapa (généalogie), les Kauris et les tohora sont frères. On pense que Tᾱne (Dieu de la forêt) a offert la baleine à Tangaroa (Dieu de la mer), c’est ainsi que les Kauris ont leurs «écailles» uniques comme écorce. Les anciens maoris lient maintenant souvent l’échouage des baleines aux luttes de l’arbre Kauri vulnérable à la maladie mortelle de dépérissement.

Au 19ème siècle, les Européens ont mis le pied pour la première fois parmi les Kauris géants et les forêts ont rapidement été exploitées pour leur bois durable. Les jeunes Kauris (connus sous le nom de rickers) étaient abattus par milliers pour fournir des mâts et des espars aux navires. Depuis 1952, une politique de protection a été mise en œuvre par les gouvernements pour protéger la forêt de Waipoua et s’attaquer à la maladie de dépérissement qui touche les Kauris encore vivants

En remontant plus au Nord, Opononi se lotit sur un imposant estuaire de la côte Ouest.

C’est là que l’on trouve les plus beaux « bowlers », rochers sphériques presque parfaits.

Le printemps vient et les Manuka et autres Kanuka sont en fleurs. Le miel de Manuka est très recherché car il aurait des qualités exceptionnelles, le kanuka lui ressemble mais ses fleurts sont groupées et son miel est également renommé.

De retour à Opua, nous faisosn une halte près d’une petite église créée par la mission de Marsden.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *