Archives pour la catégorie mouillage

information sur un mouillage

CAT’LEYA aux Bahamas

Pendant mes 15 jours en France, CAT’LEYA se refaisait une beauté en Martinique pour différentes réparations et opérations de maintenance. Je dois maintenant rejoindre MANJARO aux Bahamas avant d’entamer notre montée vers les USA.

Une petite halte aux Saintes puis Saint Barth où je retrouverai Guillaume, Caro et Hugo, et enfin Porto Rico avant quelques jours de navigation vers les Bahamas. Là je m’arrête faire la clearance à Cat Island dans un mouillage « photogénique » où je rencontre un couple américain avec lesquels je partagerais quelques informations pour la suite du voyage.

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Et enfin, arrivée aux Berry’s et jonction avec MANJARO. Un mouillage idyllique et tranquille où nous partagerons pendant quelques jours le bonheur de se retrouver .

C’est ma première halte depuis début Avril, ça fait vraiment du bien…

 

Saint Barth et Saint Martin

Sur la route de Saint Barth, nous croisons un trimaran Neel 45…  à la voile sous spi et GV haute, le vent est faible 10 à 12 Nœuds, Cat’leya file entre 7,5 et 8,5 Nœuds.

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Le différentiel de vitesse est au moins d’ un nœud et demi en notre faveur, incroyable pour un bateau réputé aussi rapide… Notre ami suisse qui skippe le Neel 45 n’en revient pas !

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J’ai tout simplement amuré le spi asymétrique sur la coque au vent et non pas sur le bout dehors…

A Saint Barth nous retrouvons le Maltese Falcon, voilier dont les mâts non haubanés sont les plus hauts du monde.

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Après avoir fait les formalités d’usage, nous quittons Gustavia pour l’anse Colombier. Au milieu de la baie, « Limitless », le bateau de Bill « Windows » !

Un chemin permet de marcher au sein de la réserve naturelle rencontre avec des « pailles en queue » et une tortue, de terre, cette fois !

Finalement nous quittons Saint Barth plutôt déçus, pour Saint Martin et la marina de l’anse Marcel. Bientôt c’est la Heineken régatta et tout est complet ailleurs. L’entrée de la marina est assez « coton », je me demande même si ça va passer…

Une marina fort accueillante et où nous pouvons bénéficier des installations de l’hôtel, plage et piscine, d’autant qu’une grosse dépression sévit dans le Nord-Ouest et les mouillages sont plutôt remuants..

Le « sentier des froussards » permet de se balader dans la réserve naturelle et d’explorer le Nord de l’île avec de beaux paysages jusqu’à l’île Tintamare.

Barbuda

Nous laissons le côté « Disneyland » d’Antigua pour la deuxième île de ce pays, Barbuda. Ici c’est la nature à l’état sauvage… les récifs sont magnifiques, requins, raies et langoustes (pas le droit de pêcher…), très peu d’urbanisation, quelques cases qui n’inspirent pas trop confiance… Même les services administratifs, qui se résument à la douane et l’immigration, sont mal logés !

le lendemain nous partons vers Saint Barth, ce sera l’occasion de naviguer avec Manjaro et Lady Bizoe et de faire une jolie vidéo des 2 Lagoon 52.

ANTIGUA : Nelson Harbour

Nous remontons la côte caraïbe de la Guadeloupe en direction d’ Antigua, notre prochaine étape.

Un premier arrêt à la réserve Cousteau, Îlet Pigeon.  Ce n’est pas bien grand mais l’eau est très claire, les poissons sont là et pas farouches !

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Puis, plus au Nord, Deshaies où nous effectuerons la « clearance » de sortie. La soirée dans un petit « lolo » nous aurons la chance d’assister à un concert de musique traditionnelle créole où les spectateurs peuvent venir danser, chacun à leur tour,  en symbiose avec les musiciens, on a l’impression qu’un échange s’installe entre le danseur, en fait la plupart du temps une danseuse, et les musiciens, chacun adaptant sa production à l’autre…

Paul et Théo terminent leur semaine de vacances, retour au froid !

Les formalités d’import d’Hadès pour Antigua ne sont toujours pas terminées… J’ai bien reçu un mail disant que tout était bon sauf qu’ils demandent maintenant un test de maladie de Lyme.. J’ai essayé de les appeler Vendredi après-midi, peine perdue, personne n’est là ! J’avais annoncé mon arrivée pour Dimanche, donc, le matin, je lève l’ancre. Les conditions de vent sont légères, un peu de houle tout de même et bien sûr du près…

Au loin sur bord, j’aperçois Montserrat et son volcan qui laisse échapper de gros nuages de fumées.

Arrivé à Nelson Harbour, avant la fermeture de l’immigration et de la douane, c’est Dimanche et en moins de 30′ c’est réglé !

On ne me demande rien pour le chien… je règlerai ça Lundi… finalement très facilement. Entre temps, c’était débarquement sauvage d’Hadès le soir…

Antigua est surtout connu par les « voileux » à cause de la célèbre semaine d’Antigua, régates réunissant de superbes voiliers classiques et modernes de taille, disons, respectable… Certains à quai sont énormes, probablement parmi les plus grands de la planète..

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Petite-Terre : le bijou de la Guadeloupe

Petite-Terre est située entre la Désirade et Marie-Galante. Sa beauté se mérite car la passe d’entrée peut s’avérer dangereuse par houle de Nord-Est.

Le site est peu fréquenté par les plaisanciers. Aujourd’hui les vagues déferlent peu et la houle vient d’Est, ce sont des conditions idéales pour aller mouiller sur l’une des bouées du site.

Les fonds sont également superbes, tortues, raies, requin, etc… se rencontrent dans le courant de 2 à 3 noeuds entre les 2 îles.

Une seule des 2 îles est accessible à pied et l’on peut y rencontrer de nombreux iguanes endémiques.

Le Sud de Grand Terre : Pointe à Pitre et Saint-François

Des Saintes, navigation au « près » pour rallier Pointe à Pitre… difficile de tenir moins de 110° d’un bord sur l’autre mais la vitesse est là malgré un vent très faible.

Le mémorial de  l’esclavage, abrité par un bâtiment magnifique qui me fait penser au MuCEM de Marseille, marque l’entrée de Pointe à Pitre par la mer.

Après quelques jours au mouillage à l’îlet à cochons direction Saint-François au Sud-est de la Grand terre. Une passe relativement étroite donne l’accès au lagon, magnifique !

Désolé je dois vous laisser, c’est l’heure de l’apéro…

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De la Martinique aux Saintes

Avant de traverser le canal de la Dominique, dernière halte au sud de Saint-Pierre devant l’hôtel Makouba, un mouillage tranquille.

Mouillage de l'hotel Makouba (Le Carbet-Saint Pierre)
Mouillage de l’hotel Makouba (Le Carbet-Saint Pierre)

La météo annonce 21 Nœuds, je prend 2 ris pour être tranquille et la traversée va aller vite, entre 8.5 et plus de 10 Nœuds. La Dominique est très verte et de beaux arcs en ciel viennent illuminer ma navigation.

La nuit arrive, je décide de mouiller au sud de Portsmouth, je repartirai le matin direction la Guadeloupe.

Le vent est plus modéré ainsi que la mer, donc 1 ris cette fois et toujours une bonne vitesse. Me voici ans le « saints des saints »…. La baie des Saintes, pour certains l’une de plus belles baies du monde, je vous laisse juge… Le village est sympa bien qu’un peu touristique.

Je profite de ces journées pour faire quelques balades avec Hadès et découvrir des points de vue mettant en valeur ce site particulier, le fort Joséphine sur l’ilet Cabrit ou le Chameau (304 mètres !) sur Terre d’en Haut.

Ainsi que 2 belles plongées sur le site de la pointe de la Vache (Terre de Bas)

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Une semaine en Martinique

La Martinique c’est bien sûr la carte postale de la plage des Salines. Au Sud de Sainte-Anne, côte caraïbe, juste après l’anse Meunier et la baie Petite  Salines, une magnifique baie bordée de cocotiers…

Plus au Nord sur la côte Ouest, après avoir passé le rocher du Diamant, une petite baie de sable noir bordée de cocotiers, l’anse Noire.

Anse Noire
Anse Noire
Anse Noire
Anse Noire

En redescendant vers le Sud, les anses d’Arlet et le Cap Salomon où un sentier sous-marin a été aménagé.

Un sentier balisé permet également de découvrir la mangrove et de belles vues sur l’anse Noire.

de retour dans le Sud

Une promenade dans les ruelles de Fort de France vous baigne dans une architecture créole très colorée. Au Marin c’est la rentrée des classes, les chauffeurs de  bus de ramassage scolaire s’abritent de la chaleur sous les cocotiers à côté des étals de légumes pays.

La côte au vent présente un visage très différent, lagons, déferlantes sur les cayes, splendeur sauvage…

La Martinique c’est aussi le rhum agricole et l’une de ses plus célèbres la rhumerie Clément.